mercredi 18 septembre 2013

Je ris merveilleusement avec toi. Voilà la chance unique.

















Mystérieusement Georges Braque est resté longtemps dans l'ombre, peut-être la discrétion de l'homme et la présence envahissante, à ses côtés, de Picasso.La rétrospective organisée du 18 septembre au 6 janvier au Grand Palais devrait lui redonner la place majeure qu'il a dans l'histoire de l'art.Le peintre a beaucoup fréquenté les poètes et parfois merveilleusement travaillé pour eux. Ainsi, il a illustré dans les années soixante la seconde version des " Lettera amorosa" de René Char, dont j'ai extrait ce poème, exemple de la fulgurante concision du poète.



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