dimanche 12 avril 2009

Des Pâques, des Pâques oui mais des Panzani

A Pâques, Rome branle le monde. Benoît télévisionne, urbite et orbite, transforme le vin en eau, multiplie les cloches.
A Pâques, derrière celui qui marche sur les os, beaucoup de cathos marchent sur des œufs.
A Pâques, le chocolatier fait son glas, c’est la fève de l’or. Les jardins bourdonnent, le bourdon bombille, la fée clochette, les parents cherchent les enfants dans les arbres.
A Pâques, les amoureux fondent et les vaches clarinent en regardant passer l’étreinte.
A Pâques, c’est la fin du djeune, les seins sont au balcon et les mains au tison.
A Pâques, la grosse cloche sonne dans chaque homme.
A Pâques, les assiettes tintent et l’ouaille est un loup pour l’agneau.
A Pâques, le « nombril du monde » reste l’Ile de Pâques.
A Pâques, Rome branle le monde. L’amour tintinnabule.

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