Planté là c’est le cri
Le fouet du clocher
Son envolée d’aiguilles
C’est le grand éclat nègre
Sur le quignon du noir
L’éreintement du rêve
Des alcôves laiteuses.
Planté là c’est le rire
Des fêlures bien fraiches
Le frimas des poucets
Sur leur tas de cailloux
C’est le big coup de cuivre
Dans les plumes des roses
Le grincement des vents.
Planté là c’est le chant
La pierre du clocher
Dans la meule douillette
C’est le sec coup de dé
Dans le tabac des aubes
La matinée neigeuse
Dans la chambre à ras plis.
Sur photo de Michel Godeau
Le fouet du clocher
Son envolée d’aiguilles
C’est le grand éclat nègre
Sur le quignon du noir
L’éreintement du rêve
Des alcôves laiteuses.
Planté là c’est le rire
Des fêlures bien fraiches
Le frimas des poucets
Sur leur tas de cailloux
C’est le big coup de cuivre
Dans les plumes des roses
Le grincement des vents.
Planté là c’est le chant
La pierre du clocher
Dans la meule douillette
C’est le sec coup de dé
Dans le tabac des aubes
La matinée neigeuse
Dans la chambre à ras plis.
Sur photo de Michel Godeau
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