mardi 22 septembre 2009

blues du thé vert

Matin tombé des nues
Dans l’odeur de thé vert
Nuit avalée terre crue
Où se brûler la langue

Plaisir de laver l'oeil
Dans la lessive bleue
le coeur étendu nu
A l’entrée du jardin.

2 commentaires:

  1. Quel joli poème!Cette sensualité délicate s'adapterait bien à certains de mes collages... A moins que ce ne soit l'inverse.
    Amitiés de la part d'Antoine.

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  2. Merçi Antoine Dès que je joue blues mes textes collent forcément à ton travail.Et je suis pour un moment dans cette tonalité.
    toutes mes amitiés.
    JP

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