Ah! pourquoi ce cœur ce palpitant qui s'emballe serre
Nous tourne la tête nous bouffe vie a ses hauts vomit
Ce muscle mou qui bat fond pour un rien pour un mot
Ah! bonheur des poitrines vides juste avec une pierre
Ou deux pour le bruit bling bling au matin dans le tain
Quand en se rasant on pense chante aux lendemains
Ah! bonheur des cages thoraciques sans pouls coup
Ah! joie des chairs sanglées pour la barbarie la haine
Des corps froids onglés pour la proie le cri déchirant
Pour ceux-là l’ère ouverte des primates des babines
Des hallalis abois des chasses présidentielles sang
Sur les brocards les robes mains fumantes des invités
Bonheur des battues curées des rudes équarrissages
De la viande jetée à la meute du vif dépeçage en pâture
Ah! La belle ère des rats qui sortent des lobes à la brune
Des loups qui ne dorment que d’un œil crevé veillent au
Chaperonnement collectif somment la bête de sortir du
Troupeau bouter à crocs toute peau sentant l’en-dehors.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Un commentaire ?