Ceci n'est pas un pilier du ciel ni le vent opiacé d'un orgue. Ceci n'est pas un songe à l'eau de rose ni le déchant fluté d'un ange. Ceci n'est pas un tuyau soufflé dans l'oreille d'un peintre. Ce n'est qu'une sourdine glissée dans le pavillon d'un heureux. Que le passage à l'indigo d'une clef de voûte.
On est à des milliers d'asa, cherchant un peu de fraicheur. Quand l'œil tombe sur la matière éclairée de ses seuls grains de beauté, l'épiderme du monde. Alors on reste dans l'ombre buvant cette musique, avec la seule envie de prolonger ce vertige jusqu'au violet du spectre.
Ceci n'est pas une fenêtre du quattrocento ni l'ailleurs d'une cimaise. Ceci n'est pas la respiration fluide d'un Rothko ni le frémissement d'un motif. C'est la percée fugitive des rouge et bleu d'un vitrail. La matérialité caressante d'une peinture du soleil. l'instant-lumière d'un pan de l'univers.
On est à des milliers d'asa, cherchant un peu de fraicheur. Quand l'œil tombe sur la matière éclairée de ses seuls grains de beauté, l'épiderme du monde. Alors on reste dans l'ombre buvant cette musique, avec la seule envie de prolonger ce vertige jusqu'au violet du spectre.
Ceci n'est pas une fenêtre du quattrocento ni l'ailleurs d'une cimaise. Ceci n'est pas la respiration fluide d'un Rothko ni le frémissement d'un motif. C'est la percée fugitive des rouge et bleu d'un vitrail. La matérialité caressante d'une peinture du soleil. l'instant-lumière d'un pan de l'univers.
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